L’été dernier, Charles Camberoque exposait à Beijing (Chine) des diptyques et des triptyques mettant en vis à vis des photographies réalisées en Chine et en Europe, dont une grande partie en Languedoc de 1975 à 1985 (ceux qui connaissent déjà son travail en reconnaîtront certaines). Simplement magnifique !
http://2010camberoqueenchine.unblog.fr/
Oui, magnifique et étonnant de poésie sans âge… Le N & B rapproche curieusement la Chine et l’Aveyron de cette période-là… Les mêmes lessives à sécher dans les cours, les mêmes visages burinés, les mêmes instruments de travail fabriqués artisanalement, les mêmes joies dans les yeux dans les fêtes locales… Merci pour ce lien
merci pour cette découverte. Autant j’ai apprécié les images Europe/chine, qu’il m’a été plus difficile celle où l’on dépece un éléphant… mais le propre du photographe n’est-il pas de montrer à voir …
Camberoque, quel nom sonore mes aïeux ! Oui, j’ai aimé qu’il tende des ponts entre deux cultures, pour montrer finalement que le fond de la nature humaine est une par delà les différences de surface. il est toujours bon de mettre le doigt là-dessus.
Quand à l’ universalité de son oeuvre, elle est éclatante, tout comme celle de Georges Souche
dont les photos transcendent l’aspect régionaliste et qui ont toutes une résonance susceptible de parler au coeur de l’Homme.