Cahiers Max Rouquette, n°4

 

couvcahiers2010Édité par l’association Amistats Max Rouquette, le n°4 de la revue consacrée à l’écrivain vient tout juste de paraître : 88 pages avec notamment un dossier sur Max Rouquette et la musique, un texte inédit de l’écrivain, des articles de Jean-Frédéric Brun, Philippe Gardy, Yves Rouquette, Josiane Ubaud, Françoise Wyatt… des photographies en N&B ainsi que deux longs entretiens avec les musiciens Laurent Audemard et Gérard Zuchetto.

Voir le sommaire complet sur le site Max Rouquette, où l’on peut commander la revue (15 €).

Ce numéro ainsi que les deux précédents seront disponibles à la Comédie du livre de Montpellier, sur le stand des éditions Jorn (espace des éditeurs en région), qui ont édité entre autres le magnifique recueil D’aicí mil ans de lutz.
C’est aussi sur le stand de Jorn, où je serai présent en pointillé, que l’on pourra trouver les ouvrages des éditions Cardabelle, notamment les deux (Lac du Salagou, Larzac) que j’ai publié avec Max Rouquette.

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3 commentaires sur “Cahiers Max Rouquette, n°4”

  1. el duende dit :

    C’est avec grand plaisir que je viendrai faire un tour sur ce stand occitan pour soutenir cette production de grande qualité. Mais pourquoi l’Occitanie n’est-elle jamais à l’honneur de la Comédie du livre ? Pourquoi ce pays n’est-il pas reconnu à sa juste valeur ? C’est à la force du poignet que les petits éditeurs locaux se battent pour émerger. Quand on plonge dans cette littérature on en ressort ébloui…

  2. Georges dit :

    Je ne pense pas que la Comédie du livre puisse prendre uniquement la littérature occitane comme thème. Par contre occitan + catalan, ou élargi aux langues minoritaires de France, est une idée qui pourrait les séduire et après en avoir parlé hier, il semble qu’à priori personne ne l’a jamais proposé.

  3. el duende dit :

    Oui, une grande fête des minorités, qui sont si grandes dans leur créativité ! Ce serait génial quoique la Catalogne ait déjà été honorée il y peu de temps. Mais pourquoi le stand de la Région était-il si excentré ? Samedi, débouchant du parking Joffre, je l’ai raté. Les filles de l’accueil n’ont pas su me dire où il se trouvait. En tout cas, il faut lutter, si l’idée n’aboutit pas
    (mais ça m’étonnerait ou alors les gens qui sont aux commandes seraient vraiment obtus) pour une situation centrale, définitivement. Ce n’est pas normal que la production du Languedoc soit reléguée en fin de course, après la littérature jeunesse, la bande dessinée, et les bouquiniste. C’est de l’ostracisme :))