“Le granit qu’on peut toucher du doigt, a mille millions d’années. Le ciel est le même, d’un bleu trop pur, vide et glacé, le silence éternel. Nous ne sommes jamais sur cette scène immuable, intemporelle, qu’un accident passager, un émoi négligeable. Cela force l’évidence.” Pierre Bergounioux
Les pierres sont toujours un sujet de choix pour les poètes, on comprend aisément pourquoi, comme le dit Bergounioux.
Il faudrait ici remplacer “granit” par “calcaire” car on est en garrigue.
Pas besoin d’être poète pour ressentir notre petitesse dans ces paysages grandioses, et le gouffre du temps qui nous anéantit face à la roche immuable.:-))
La photo ets très belle. Un paysage agreste comme je l’aime bien que je ne connaisse pas ce pic…
Ce que j’aime dans la composition de cette photo, c’est la progression du plus “dur” de la roche au plus mousseux de l’herbe, pour finir par se perdre dans l’evanescence de la brume lointaine…
“Le granit qu’on peut toucher du doigt, a mille millions d’années. Le ciel est le même, d’un bleu trop pur, vide et glacé, le silence éternel. Nous ne sommes jamais sur cette scène immuable, intemporelle, qu’un accident passager, un émoi négligeable. Cela force l’évidence.” Pierre Bergounioux
Les pierres sont toujours un sujet de choix pour les poètes, on comprend aisément pourquoi, comme le dit Bergounioux.
Il faudrait ici remplacer “granit” par “calcaire” car on est en garrigue.
Pas besoin d’être poète pour ressentir notre petitesse dans ces paysages grandioses, et le gouffre du temps qui nous anéantit face à la roche immuable.:-))
La photo ets très belle. Un paysage agreste comme je l’aime bien que je ne connaisse pas ce pic…
Ce que j’aime dans la composition de cette photo, c’est la progression du plus “dur” de la roche au plus mousseux de l’herbe, pour finir par se perdre dans l’evanescence de la brume lointaine…
Le silence des pierres de Marcelle Delpastre…