La prima tota (3)

Variations paysagères autour du printemps

Asphodèles au crépuscule

Asphodèles au crépuscule. Neffiès, Hérault, avril 2010

 

Publié le Mardi 18 mai 2010 dans Garrigue, Paysages. Flux RSS 2.0. Les commentaires et pings sont fermés.

4 commentaires sur “La prima tota (3)”

  1. el duende dit :
    18 mai 2010 à 20:15

    Entre chien et loup, ces asphodèles ressemblent à une multitude de lampes égrainées ça et là… dans leurs solitude dressées. Une photo empreinte de mélancolie que les touffes jaunes (?) tentent d’égayer…

  2. Hélène O. dit :
    21 mai 2010 à 16:02

    La nuit arrivera doucement, au fur et à mesure telles des lampions l’asphodèle s’illumine. Splendide Georges ! splendide. Merci de ce partage

  3. Ray dit :
    22 mai 2010 à 02:20

    Irradiante lumière, comment ne pas penser à ces deux vers sublimes : “Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèles, les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.”

  4. Georges dit :
    25 mai 2010 à 12:05

    Des lampions qui curieusement s’éclairent d’autant plus que le soleil s’efface, c’est tout à fait cela.
    La prolifération des asphodèles (à certains endroits, des pans entiers de collines) est assez impressionnante.
    @ Ray : un autre genre de poésie, plus pratique celle-là : “la tige se mange rôtie, les graines grillées, et la racine se mélangent à la chair des figues”. Théophrate (4e siècle av.JC)